Trois questions pour comprendre la déroute des Américains face à l'Europe en Ryder Cup

Au lendemain de la nette défaite de l'équipe américaine de Ryder Cup (16,5 - 11,5) à Rome, on a du mal à comprendre comment ce groupe, si dominateur à Whistling Straits en 2021 et qu'on imaginait exercer une domination sans partage pendant de longues années, s'est disloqué face à la furia revancharde des Européens. Tentative d'explication en trois temps.

Sam Burns et Collin Morikawa, bras dessus, bras dessous, une image rare dans les rangs américains. (P. Lahalle/L'Équipe)
Sam Burns et Collin Morikawa, bras dessus, bras dessous, une image rare dans les rangs américains. (P. Lahalle/L'Équipe)
Sam Burns et Collin Morikawa, bras dessus, bras dessous, une image rare dans les rangs américains. (P. Lahalle/L'Équipe)

Trois questions pour comprendre la déroute des Américains face à l'Europe en Ryder Cup

Au lendemain de la nette défaite de l'équipe américaine de Ryder Cup (16,5 - 11,5) à Rome, on a du mal à comprendre comment ce groupe, si dominateur à Whistling Straits en 2021 et qu'on imaginait exercer une domination sans partage pendant de longues années, s'est disloqué face à la furia revancharde des Européens. Tentative d'explication en trois temps.

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1/ La team USA s'est-elle préparée de la meilleure façon ?

On peut en douter même si à chaud ça ne sautait pas aux yeux de Justin Thomas. « Je n'ai pas eu l'impression que la préparation était nécessairement un problème », évacuait-il dimanche soir. Pourtant, contrairement aux Européens venus au grand complet, caddys compris, reconnaître le parcours quinze jours avant la compétition, les Américains n'étaient pas tous présents sur le Marco Simone lors de leur séjour d'entraînement qui suivit celui de leurs adversaires.

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