De « Neverkusen » au premier titre de champion d'Allemagne : le Bayer Leverkusen n'est plus maudit

Champion d'Allemagne pour la première fois en 120 ans d'histoire après son succès contre Brême (5-0) dimanche en Bundesliga, le Bayer Leverkusen, surnommé « Neverkusen », a rompu avec son étiquette d'éternel perdant.

Le Leverkusen de Ballack et Bernd Schneider et celui de Florian Wirtz, deux destins différents. (L'Équipe et Presse Sports)
Le Leverkusen de Ballack et Bernd Schneider et celui de Florian Wirtz, deux destins différents. (L'Équipe et Presse Sports)
Le Leverkusen de Ballack et Bernd Schneider et celui de Florian Wirtz, deux destins différents. (L'Équipe et Presse Sports)

De « Neverkusen » au premier titre de champion d'Allemagne : le Bayer Leverkusen n'est plus maudit

Champion d'Allemagne pour la première fois en 120 ans d'histoire après son succès contre Brême (5-0) dimanche en Bundesliga, le Bayer Leverkusen, surnommé « Neverkusen », a rompu avec son étiquette d'éternel perdant.

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La lose a perdu un de ses plus fidèles représentants en Europe cette saison. Surnommé « Neverkusen » ou « Vizekusen », c'est selon, le Bayer Leverkusen, qui a remporté son premier titre de champion d'Allemagne en 120 ans d'existence après sa victoire contre Brême (5-0) dimanche, était connu en Allemagne pour ses échecs tragiques.

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