Il est des jours qui valent des mois. Ce vendredi 19 avril 2024 pourrait rester un moment dans la tête et dans le coeur de Grégoire Barrère (128e ATP). À désormais 30 ans, celui qui a atteint son meilleur classement il y a neuf mois à peine (49e mondial au moment du dernier Wimbledon) claudiquait d'un tournoi à l'autre depuis le début de l'année. Pas fichu de battre le moindre top 150 ou d'enchaîner les victoires, il est en train de vivre une semaine de rêve à Bucarest où, passé par les qualifications, et après un vendredi assez fou avec deux succès pour le prix d'un, il disputera samedi la deuxième demi-finale de sa carrière sur le circuit principal.
Grégoire Barrère, en demi-finales à Bucarest : « Vu que je ne gagnais plus un match, je me posais des questions »
Vainqueur de Sebastian Korda (6-4, 6-4) en huitièmes de finale puis de Pedro Martinez (6-7 [2], 6-3, 6-4) en quarts le même jour, vendredi, à l'ATP 250 de Bucarest, le Français Grégoire Barrère raconte de quelle période difficile il sort à peine.
Grégoire Barrère visera samedi sa première finale sur le circuit principal. (P. Lahalle/L'Équipe)
Grégoire Barrère, en demi-finales à Bucarest : « Vu que je ne gagnais plus un match, je me posais des questions »
Vainqueur de Sebastian Korda (6-4, 6-4) en huitièmes de finale puis de Pedro Martinez (6-7 [2], 6-3, 6-4) en quarts le même jour, vendredi, à l'ATP 250 de Bucarest, le Français Grégoire Barrère raconte de quelle période difficile il sort à peine.
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