Jennifer Hermoso, son combat continue

Invitée à la cérémonie du 67e Ballon d'Or, où elle avait prévu de prendre la parole, Jennifer Hermoso a dû décommander, dans un contexte particulier entre pressions et obligations judiciaires. Victime de l'agression de Luis Rubiales, président de la Fédération espagnole, lors de la finale de la Coupe du monde, elle est depuis devenue un modèle de la lutte contre les violences faites aux femmes.

Jennifer Hermoso veut faire entendre sa voix et dénoncer son agresseur Luis Rubiales. (R4924_italyphotopress/Ipp)
Jennifer Hermoso veut faire entendre sa voix et dénoncer son agresseur Luis Rubiales. (R4924_italyphotopress/Ipp)
Jennifer Hermoso veut faire entendre sa voix et dénoncer son agresseur Luis Rubiales. (R4924_italyphotopress/Ipp)

Jennifer Hermoso, son combat continue

Invitée à la cérémonie du 67e Ballon d'Or, où elle avait prévu de prendre la parole, Jennifer Hermoso a dû décommander, dans un contexte particulier entre pressions et obligations judiciaires. Victime de l'agression de Luis Rubiales, président de la Fédération espagnole, lors de la finale de la Coupe du monde, elle est depuis devenue un modèle de la lutte contre les violences faites aux femmes.

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C'est vrai, le football, il a changé. Non content d'être universel, le voilà souvent au coeur des combats de son temps. C'est beau, ça vit, ça nourrit des révolutions. Lundi, au théâtre du Châtelet, à l'occasion de la cérémonie du Ballon d'Or, Aitana Bonmati, 51 kilos de convictions et de caractère, lança : « En tant que modèles, nous avons une responsabilité sur et en dehors du terrain. Continuons à lutter ensemble pour un monde meilleur, pacifique et égalitaire. »

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